Oulchy-le-Château | |||||
![]() L'église Notre-Dame vue depuis la route menant à Cugny-lès-Crouttes. | |||||
![]() Blason | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Soissons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Canton d'Oulchy-le-Château (siège) | ||||
Maire Mandat | Jean-Pierre Brioux 2020-2026 | ||||
Code postal | 02210 | ||||
Code commune | 02580 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ulchéens, Ulchéennes | ||||
Population municipale | 811 hab. (2022 ![]() | ||||
Densité | 54 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 12′ 18″ nord, 3° 22′ 09″ est | ||||
Altitude | Min. 87 m Max. 178 m | ||||
Superficie | 15,08 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Château-Thierry (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Villers-Cotterêts | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Aisne Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
modifier ![]() |
Oulchy-le-Château est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Bourg situé à 106 km de Paris, entre Soissons (au nord) et Château-Thierry (au sud), il est accessible directement par la nationale.
Localisation
[modifier | modifier le code]![]() | Le Plessier-Huleu | Grand-Rozoy | Beugneux | ![]() |
Oulchy-la-Ville | N | Bruyères-sur-Fère | ||
O Oulchy-le-Château E | ||||
S | ||||
Breny | Armentières-sur-Ourcq | Nanteuil-Notre-Dame |
Quartiers, hameaux, lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]- Cugny-lès-Crouttes, situé à l'est.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Ourcq, l'Ordrimouille, le ru de Chaudailly[1], le cours d'eau 01 de la Culotte[2], le cours d'eau 01 des Prés de Comporté[3], le fossé 01 de la commune d'Oulchy-le-Château[4] et le fossé Fourgon[5],[6],[Carte 1].
L'Ourcq, d'une longueur de 86 km, prend sa source dans la commune de Courmont et se jette dans la Marne en limite de Mary-sur-Marne et de Lizy-sur-Ourcq, face à Isles-les-Meldeuses, après avoir traversé 36 communes[7].
L'Ordrimouille, d'une longueur de 16 km, prend sa source dans la commune de Épieds et se jette dans l'Ourcq à Nanteuil-Notre-Dame, après avoir traversé cinq communes[8].

Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 737 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blesmes à 19 km à vol d'oiseau[11], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 713,0 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Oulchy-le-Château est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Château-Thierry, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[16]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,8 %), forêts (14 %), zones urbanisées (3,8 %), prairies (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)[19].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie
[modifier | modifier le code]Ulciacius en 1081, Uliacium, Ulceiam castellum ou ulcheium castrum en 1139, Ulceius en 1228, Ouchie en 1444, Auchy le chastel, Ochy le châtel en 1444, Oulchy-le-châtel en 1789. Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Oulchy-la-Montagne en 1793[20]. Le nom d'Oulchy est dérivé de Urcum (Ourcq). De la racine hydronymique *ol. Nous constatons, prouvée par de multiples exemples, en toponymie comme en hydronymie, l'équivalence des groupes sonores ol, or, ul, ur. Il n'est donc pas surprenant de trouver l'appellation, Oulchy, déclinant de cette variation autour du thème *ol[21].
Oulchy doit sa naissance à un château-fort qui fut construit dans ce lieu par Thibaud III de Blois, comte de Champagne au Xe siècle[22].
Histoire
[modifier | modifier le code]Après la conquête romaine, le bourg d’Oulchy-le-Château acquiert une importance stratégique. Plusieurs voies majeures traversent ou frôlent la région. Parmi elles, la célèbre Chaussée Brunehaut, voie romaine tracée dès 20 av. J.-C. sous Agrippa, relie Soissons à Château-Thierry. Le chemin du sacre, qui menait de Reims à Paris, empruntait en partie cette ancienne route. Des vestiges gallo-romains — grains de colliers, fibules — y furent découverts au XVIIIe siècle. À cette époque, Oulchy devient la capitale de l'Orxois, au point d’y battre monnaie : les solidos Ulcheii (sous d’Oulchy).
Des traces d’occupation ancienne sont aussi visibles au lieu-dit Grigny, à 4 km au nord d’Oulchy, sur la voie romaine de Troyes à Saint-Quentin. Cette ancienne cité romaine aujourd’hui disparue a livré de nombreux objets gaulois et gallo-romains[23].
Les premiers temps médiévaux
[modifier | modifier le code]Les premières mentions documentées d’Oulchy datent de l’an 987, au moment de l’avènement des Capétiens. À cette époque, le territoire appartient aux comtes de Troyes et de Meaux. Thibault Ier, comte de Champagne, y fait construire un château, dont il ne reste plus de traces aujourd’hui, mis à part une tour et les remparts.
Au XIe siècle, trois seigneurs se partagent l'autorité sur la châtellenie :
- Le vicomte d’Oulchy, seigneur du château.
- Le seigneur du donjon, chargé de la défense intérieure et extérieure.
- Le seigneur de la Grande Maison, fief indépendant parfois qualifié lui aussi de « Seigneur d’Oulchy ».
En 1076, le comte de Champagne fait édifier une église dans l’enceinte du château, probablement à l’emplacement d’un sanctuaire plus ancien. Au XIIe siècle, le chœur, le transept, le clocher sont ajoutés. L'édifice roman se distingue par ses chapiteaux archaïques, ses stalles à miséricordes, une chaire en encorbellement venant de Saint-Jean-des-Vignes, une viergo paritura et une vierge à l’enfant provenant de l’église de Cugny[23].
La condition des habitants et les institutions religieuses
[modifier | modifier le code]Au XIIe siècle, les habitants sont serfs de l’église locale. En 1177, Henri, comte palatin de Troyes, leur accorde certaines franchises. En 1311, ils obtiennent du roi, via le comte de Champagne et de Brie, le droit d'organiser une foire franche de quatre jours à partir du 15 août.
Un chapitre de chanoines, fondé à Oulchy, est donné en 1122 par Thibault à l’abbaye Saint-Jean-des-Vignes, qui y installe des moines. Ce prieuré devient plus tard une simple cure. Les prieurs deviennent également seigneurs de Beugneux.
Un établissement templier est fondé à Oulchy en 1177. Dès le XIIIe siècle, un hôpital existe, transformé en Hôtel-Dieu en 1501, à l’initiative des habitants. En 1780, il compte six lits, et il est géré par les sœurs de Genlis, l'une d’elles tenant aussi une école gratuite pour les filles pauvres. Une ancienne maladrerie fut rattachée à cet hôpital.
Des fouilles ont mis au jour des squelettes accompagnés de pots en terre cuite percés de trous, contenant cendres et charbons[23].
Guerres, épidémies et bouleversements
[modifier | modifier le code]Oulchy subit de nombreux conflits. Pendant la guerre de Cent Ans, le château est plusieurs fois pris, pillé, incendié par les Bourguignons et les Armagnacs. En 1431, l’année du martyre de Jeanne d’Arc, Oulchy est complètement détruite. Sous Louis XII, les habitants sont autorisés à reconstruire leur église avec les pierres du château, qui ne sera jamais rebâti. Seuls quelques remparts et une tour subsistent.
La ville se développe ensuite à proximité de la motte castrale, le long de deux voies anciennes, dont la Route du Sacre (voie Chehère), aujourd’hui disparue. Curieusement, la route moderne reliant Soissons à Château-Thierry, bien que toute proche, ne dessert pas Oulchy. Elle n’apparaît qu’au XVIIIe siècle sur les cartes de 1742[23].
Temps modernes et contemporains
[modifier | modifier le code]Les guerres se poursuivent : Révolution, Consulat, Empire. Un monument napoléonien rappelle le courage du capitaine Parquin lors de la campagne de 1814.
En 1870 puis en 1914, Oulchy est de nouveau plongée dans les conflits. Pendant la Grande Guerre, elle devient un point de passage pour les troupes. L’église et le prieuré subissent d’importants dégâts lors des bombardements. En 1935, le président Lebrun inaugure, sur la Butte Chalmont, le monument des Fantômes, en hommage aux milliers de soldats tombés dans les environs[23].
Cette ligne, initialement exploitée par les CDA, l'a été ensuite par les CFS-NE.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune d'Oulchy-le-Château est membre de la communauté de communes du Canton d'Oulchy-le-Château, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Oulchy-le-Château. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Soissons, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[16]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Villers-Cotterêts pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[16], et de la cinquième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[25].
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2022, la commune comptait 811 habitants[Note 3], en évolution de −1,82 % par rapport à 2016 (Aisne : −1,97 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Activités économiques et sportives
[modifier | modifier le code]Le village dispose de tous les commerces et activités nécessaires : boulangerie, supérette, pharmacie, bar-tabac, gendarmerie et également d'un médecin.
La commune est pourvue d'un stade de football et de deux terrains de tennis. Il est possible de louer la salle des fêtes pour mariages, concerts, etc.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]

- Église Notre-Dame.
- Église Saint-Médard de Cugny-les-Crouttes.
- Ancien prieuré.
- Monument aux morts, sur lequel sont inscrits 41 noms[34].
- Monument aux morts de Cugny-lès-Crouttes, sur lequel sont inscrits cinq noms[35].
- Stèle en mémoire du capitaine Parquin[36],[37].
- Plusieurs lavoirs[38].
- Monument national de la seconde bataille de la Marne. C'est un groupe en pierre Les Fantômes (1919-1935) de Paul Landowski constitué de sept soldats, hauts de huit mètres, chacun incarnant une arme et érigé sur la butte de Chalmont[39] à l'endroit précis où se décida le sort de la seconde bataille de la Marne.
- Vestige d'une forteresse fondée au Xe siècle par les comtes de Champagne et ruinée au XVe siècle par les Armagnacs et les Bourguignons. Louis XII autorisa les habitants à rebâtir leur église avec les matériaux provenant du château. Il ne subsiste que des débris de l'enceinte[40].
- Restes XIIIe d'une commanderie, dans une ferme du faubourg Saint-Jacques[40].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Gautier d'Oulchy ou Gaucher d'Ochies, abbé de Notre-Dame de Longpont de 1198 à 1219.
- Louis Lucien Baudoin, né à Oulchy le , il édita de nombreux périodique et fut chevalier de la Légion d'honneur en 1890[41].
- Léon Adolphe Angot, né le à Oulchy, il est capitaine d'administration, il reçut la Légion d'honneur le [41].
- Claude Marcy, née Marcienne Odette Vaudey, épouse de Charles Spaak puis d'Henri Jeanson, comédienne, est née dans la commune (où son père était receveur de l'enregistrement) en . Elle est décédée en à Équemauville.
- Gérard Titus-Carmel, peintre et poète, vit et travaille dans la commune depuis plus de trente ans.
- Philippe Meurs, agriculteur à Oulchy, ancien président du syndicat des Jeunes agriculteurs (2006[42] → 2008).
Héraldique
[modifier | modifier le code]![]() | Blason | D'azur semé de billettes d'or au lion brochant du même[43].
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
[modifier | modifier le code]- ↑ « Réseau hydrographique d'Oulchy-le-Château » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- ↑ Sandre, « le ru de Chaudailly »
- ↑ Sandre, « le cours d'eau 01 de la Culotte »
- ↑ Sandre, « le cours d'eau 01 des Prés de Comporté »
- ↑ Sandre, « le fossé 01 de la commune d'Oulchy-le-Château »
- ↑ Sandre, « le fossé Fourgon »
- ↑ « Fiche communale d'Oulchy-le-Château », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- ↑ Sandre, « l'Ourcq »
- ↑ Sandre, « l'Ordrimouille »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Oulchy-le-Château et Blesmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Blesmes » (commune de Blesmes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Blesmes » (commune de Blesmes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Château-Thierry », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Louis Richard, Le Dictionnaire toponymique de la Haute-Marne : Espace représenté, espace dénommé - Géographie, cartographie, toponymie, Paris, coll. « Actes des colloques de la Société française d'onomastique », , p. 317-318.
- ↑ Maximilien Melleville, Dictionnaire historique du département de l'Aisne, vol. 1 et 2, Paris, Dumoulin, .
- « Communauté de Communes d'Oulchy le Château », sur www.cc-oulchylechateau.fr (consulté le )
- ↑ « communauté de communes du Canton d'Oulchy-le-Château - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- ↑ Père de Simon Quinquet de Monjour et Grand-père de Henri Simon Quinquet de Monjour
- Né le 28 février 1805, décédé à Oulchy le 20 avril 1883.
- ↑ Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- ↑ « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
- ↑ « Municipales à Oulchy-le-Château: quatrième mandat pour Jean-Pierre Brioux », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ MemorialGenWeb.org Oulchy-le-Château : monument aux morts (relevé no 36055)
- ↑ MemorialGenWeb.org Oulchy-le-Château : monument aux morts de Cugny-lès-Crouttes
- ↑ Site consacré à Napoléon.
- ↑ Autres photos de la stèle.
- ↑ Site spécialisé répertoriant les lavoirs.
- ↑ Vue satellite des Fantômes sur Google Map.
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 38 (cf. Oulchy-le-Château).
- « Histoire et généalogie axonaise »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur genealogie-aisne.com.
- ↑ Michel Waintrop, « Agricultrice », La Croix, (lire en ligne).
- ↑ « 02580 Oulchy-le-Château (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des 139 sites funéraires et mémoriaux de la Première Guerre mondiale inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco
- Communes de l'Aisne
- Gare d'Oulchy - Breny